Page:Considérations sur la France.djvu/98

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faut pas faire une nouvelle. Ils se mettent à genoux devant la nation françoise ; ils la supplient de garder la République. On sent, dans tout ce qu’ils disent sur la stabilité du gouvernement, non la conviction de la raison, mais le rêve du désir.

Passons au grand anathème qui pèse sur la république.