Page:Constant - Adolphe (Extraits de la correspondance), 1960.djvu/144

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barrière contre laquelle elle s’était si longtemps brisée, et toutefois elle déplorait amèrement ces victoires. Elle assistait de ses vœux son persécuteur, parce qu’il protégeait le sol envahi ; elle oubliait ses longues souffrances, ses justes griefs ; elle repoussait les espérances que lui rendait la chute d’un ennemi implacable, pour ne voir que l’intérêt, la gloire, l’indépendance de la patrie.