pressa de le suivre, lui promettant, sitôt qu’il aurait obtenu la charge qu’il désirait, de faire des recherches pour trouver les brigands et leur infliger le châtiment qu’ils méritaient.
Souï-houng, qu’il avait déjà trompée une fois, ne croyait nullement à ses promesses ; mais, espérant trouver, en allant de côté et d’autre, une occasion favorable à son dessein, elle consentit à l’accompagner.
À cette nouvelle, la dame Hou-youe entra en fureur, fit un vacarme d’enfer, et chercha à son mari une querelle qui ne se termina qu’après bien des coups et des injures.
Hou-youe resta inflexible dans sa résolution ; il choisit un jour heureux, loua un bateau, et partit avec Souï-houng.
Arrivé à la capitale, il cherche un hôtel et y installe Souï-houng. Le len-