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Page:Contes chinois publies par Abel-Remusat, 1827, tome troisieme.djvu/203

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L’illustre Siun meurt presque de douleur à la mort de sa femme ; c’est folie.
Le philosophe Tchouang s’égaye par le carillon des pots et des verres ;
Il prend le parti de la liberté et se livre à la joie ; voilà le maitre que je veux suivre.