ussitôt que j’eus pris lecture de la correſpondance
de J. J. Rouſſeau avec Duſaulx,
publiée par ce dernier, je formai le deſſein
d’en faire l’extrait, & de répondre aux obſervations
qui y font jointes. Je reçus, dans
l’intervalle, l’excellent morceau du citoyen
Villeterque. Quoique je ne fuſſe pas entièrement
de son avis, j’ai cru que je ne devois
pas en priver le public, & qu’il me reſtoit
une part aſſez grande qui pouvoit ſe publier
ſéparément. Je préſume que ceux de nos
lecteurs qui auront lu ce morceau dans le
N° du 29 floréal de ce journal, me ſauront
gré de lui avoir donné la préférence.
J’ai remarqué d’abord qu’à travers l’eſpèce de culte que Duſaulx rend à J. J., il règne dans tout le cours de ſon ouvrage une amertume dont lui donnent l’exemple tous ceux qui, comme lui, ont éprouvé les effets de ſon