être brûlé. Et lors, il fit preuue, de ce que Solon lui auoit fouuent dit, que suh». biê que l’homme puiffe être dit fortune, tandiz. que la felicité, lui rit : ne Bien ht». peut il être pourtant, appelé Bienheureux, deuant la mort. —Diclquc beatiis, 1 Alnte obitum nemofiùremaquefuncra dchett, Ousde dU —y I -,
sJi U me, D autant, que beaucoup de chanumorpi, . jg yje ^ peuuent aucnir. & qu’on voit souuentefois, celui tom- ^ • ber en grands calamités, à qui la for-Herodote tunc, long tems aura été fauorable ». APpeUcüo. Ce que luuenal, en ses Satyres, n(a nUyZde oublié, quand il dit.
Solon, Feftino ad nojlros regem tranfeo PontL Et Cr£fum, quem yox luflifacunda Solonü Rejpiccre ad longt iujîitfiatia yltima.yira i.
luZuien Et ce même Cyrus.qui après auoir Usétjrex. transféré le Roiaumc desMcdcs, en la puissance des Perses-.Sc conquêtes