lir, que plusieurs craignent, voire défraient, & épouucntent merueilleufement delà mort. auquelsTantidotc, & remede singulier, ct préparé, de bien, faintcmcnt, & vcrtueufcment u i%nrne VJurc. Car la vie sainte, honnête, & : iiinoccnte, rend la mort affeuree. 8e pjKiUrt. celui qui vit bien, disoit Pyndare, êc j accompagné toujours, de bonne, 8e douce efperâce. qui nourrit le cœur, ^c”XpU~ ^ ®”^ctient la vieillcfTe.comme Pla »»». • ton fit entendre, d ceux qui lui deroandoient, comme il s’étoit gouuemé, durant fa vie. le me fuis (dit il) efforcé de bien viure, 8e difposé d bien mourir. 8e partant que la vie a été honnête, i’efpere la mort aueq plaisir. 8e n’aiant eu douleur en mon viure, ic n’aurai crainte de mourir. Laétancc, en quelque lieu enseigner que c’êt vne bien grande vertu, de
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