conuient cndurcrjcn ce monde.mais quand quelqu’un s’en va mourir, ils chantent, & se réiouîffent.refcransla félicité en laquelle, il entre. & les urrodotc maux, dêqucls il s’exempte i. Aux Indes, lesGimnofophiftes, cftimoicnt, Tnpfittri. l’ame être ferue, & captiuc, tandiz qu’elle êt enfcrmee, dans le corps. 8c libre, dcz qu’elle en êt fcparce .au moiên dequoi, plusieurs se tuoicnc volontairement eux mêmes. 8c ceux ci, on les estimoit heureux. 8c le ré-I ftant on les regrettoit, comme malheureux, déplorant leur calamité. Pline cncor mieux expliquant ceci, dir, la conJicion de la vie, être fi misérable, que fouuentcfois le mourir, êt. le bord, riuagc, 8c repos du plus
homme de bien ‘. Voila, pourquoi
fiurc’i" Indiens, (dequi nous auons peu t-s- dcuant parlé,) n’eftimcnt rien en ce