1^4 ALTERC. D’ADRIAN ; G o M M E LES POMMES, PENDENT pettHent, fît a V % ARBRES, AINSI SONT NOL fut Creorpo ^ORPS. LES Q. V E C S, O ▼ V O M B E NT f noftfd Q-V À NT ILS SONT M E V R S, OVi edduftt.dut $ BIEN TOST, CHEENT ENCO# fato,4(er- XOVS YERDS. bd ruuMt.ANNOTudClON. . 1 IL n’i a rien certes cn cemondcyi plus frêle, plus vain, ni qui plutôt se palTe, que la vie humaine, laquelle a ^ ce moien, êt ici par Epidetc propre- ’ ment parongonnee, aux pommcs.qui dans peu de iours se gâtent, & s’entichent. à mêmes raison aufsi les anciens, ont comparé la vie de l’homme, à vn petit bouillon . Homo, bulla. 7t»m, iuU s’élcuant sur l’eau, quand il pleut, qui vient fubitcmenr, & s’éuanouït foudainementaufsi. & cncor fi dc ces w iuâ7rt bouillons, les vns durent plus que les Duhgut autres.c’êt blc peu Arillotc aux Podt chann. Rhctoriqucs- montrc, que
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