Page:Coras - Altercacion.djvu/191

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

A N N or À CION. Ceci dit Epidete pour autant, que fortune souuentefois fauonfe plus les ’»*indignes, ignorans, & vicieux, que les dignes, doétcs, 6c gens de vertu. chose de laquelle Simonidés Tragique disoit, que les hommes se peuucc trop plus iuftement douloir, & plain dre, que de ne voir les gens vertueux, T éleucs au degré qu’ils méritent 8c partant que Fortune, faut bien fou-’ BthtqHtt uen’en 1 un, & en l’autre, Pline s*é-

  • ^ baïr, qu’cllcêt de tous, en tout tems,

& par rour, tellement louée, priicc, & rcuérce, que plusieurs font bien osé X mettre, iufques au ciel, voire au nô-Decfles. comme Plaure *. Centum doftum hominum corfiUâ, hac ynâ Juttétdl en J ’ ' Usa, J, es. demncitDea, fortuna, £c luuénal ». Sed