Page:Coras - Altercacion.djvu/196

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fois la grandeur, 6c l’autorité de la Fortune, toujours furpafl’e méprisant & dédaignant la vertu.dont Vergilc ne ccffüic dc cricr^côtrc elle, dilanr. o fortunc, quc tu es yariable)crueüe, ç^ dérai-Jhnnahlexar tu déprimes les bons, éléues les méchants • Tu donnes les honneurs aux indi„ gses. Tu ajîiges de poureté les iujies. Tu fais riches Jcs mauuauZTu chajjes les teunes, C^re^ tiensles^teux. Etcequetu otes aux gens de lien, tu donnes aux iniques, ^ méchants^ Comme aufsi Epidete figniiie ici, quand il dit.Z^ ruine des biens d’autrui, £, i certes on voit cela parexpériêcc, que rinfclicitéjôc dcfaftre de l’un, et fouucntcfois lauanccmec delautre que quand l*un descend, l’autre monte, quand Tun s apourit, l’autre dcuient riche. 6c quand 1 un fleurit, l’autre fcichc- —Hmc apkemrapax