Page:Coras - Altercacion.djvu/201

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uoie iS6 ALTER C. D’ADRIAN, uoie giiiércs, quand il dit, (récitât les vers de Pacuue)la fortune être infcn fee, aueuglc, lourde, & qui comme. infemée. I » A T fertune vne pierre ronde, n arrête point. Infcnfee, par ce qu’elle êt félonne, incertaine, &r inconstantc. Aueugle, partant qu’elle ne regarde, où elle se mct.Lqurde, brutale,6e sans iugement ; d’autant, qu’elle ne sçait difcernerlcs vertueux, ôedignes d’honneur, Se de loucnge, des indignes *. Ctrerondm . , ° ^ ° „ Hure i. de Epictctc dit ICI prcmiercmet, qu elle êc aueugle.dont quand lcsGrecs, curemnmn, . rcnt déctit Plutus Dicu desricheflcs-^^’^" aueugle, partant qu’il donne le bien ’ fouuentcfois aux plus indignes Se in suffisans. Démétrius ajouta, que par même raison, Fortune étoit aueugle, q diltribuc ses biens plus largement, à ceux qui moins le ihéritcht. Et à la vérité, Fortune non seulement â les