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Page:Coras - Altercacion.djvu/203

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J8* ALTERC. D’ADRIAN ; le répéter, quand il lui plaît. À quoi Aufin, 4H se côformc le Poëte Aufonc disant ^ fijlit in eodemjlatu Semper mouetur, yi(riat, &’ mutât yices Etfumma in imum yertit, *c yerfa erigit. Et Démétrius, quand il dit, s’écriant aueq Aefchylus, contre la fortune. O Fortuneltu m’as haufsé, & incontinent me rcnucrfcs par terre. Ët Cicéron, O légère & inconftaiîtc fortune (dit il) que tu faiz châgcr prom. tcmcnt toutes choses, dc ioië, ÿc de plaisir, en larmes, douleur, Sc iriftcfse. Non sans cause donques, iadiz i Prcnéfte, ville d’Italie, on honbroit rmip. fortune, fouz l’image dc deuxtours. partant qu’il i a deux fortunes. fune bonne, & l’autre mauuaifc. Sénéque la décrit encore mieux, disant. Qu’êc ce que la fortune n’otc, quand elleveut, duplus lieureux, & fleuriffant ?