prũtant»o(S ALTERC. D’ADRIAN ; 1 prûcant la luniicre du Soleil, elle fem blc être aucunement conceue, Sc en- . , • * I 11* EnripiiUs gcndrec, de lui ^ & Cicéron écrit, la ^edie infcri lune être la dernière étoile, au ciel, tirhanipu pijj5 prochaine dc la terre. luifant de ^ la lumière d’autrui ». À cette cause ^ufsiAnaximâdcr, appelle la lumière Sôpion. delà lune, fauce, bâtarde, & illégiti- . ; mcj. En quoi elle diffère bcaucoup imrZ’iTo- des autres étoiles, lequelles, pour être 7*1 WfT’ colloque es sur le Solcil, & cn vri cici trêpur, où n’i a rien qui n’aie fa lumière naturelle, reluifcnt dc leur propre clarté. où toutefois la Lune, et feule au deffouz du Soleil, & prochaine de la région, qui n’a point de UAmbe foi lumiere.&T par ainsi ne peut auoir î ^ j’emprunte du Soleil 4. sipitn. vrai que par réuerbéracion, Sc rcflé- ’ chifremêr, cllc rejette la lumière cmprûtce, sur l’air.auqucl par cc moien^
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