Page:Coras - Altercacion.djvu/244

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qu’un ET D’EPICTETE. xip qu’un de ses familiers. qu’ct ce qu’il faisoit ? répondit.déjà le fommeil, commence mc bailler â son frerc4. ^ Encore faut que le Chrétien pénétre JUTIJ, plus auant, & pense, que comme vn profôd fommeil, Ote, & captiue tout fcntimcnt, mais après le remet, en fa première vigueur ; ainsi la mort, enfcuelit les forces du corps, mais aprés . l’amc retourne cn son premier lieu, & domicile. c’êt à dire au ciel, d’où elle êt venue. Il ne se fautébaïrdonques, fi aux Saintes lettres, la mort êt souuentefois parangonnee, au dormir. & par le fommeil, l’écriture entend, & nous infinucla mort : & par ainsi l’étemel repos. auquel nous ne AUX leur» pouuons paruciiir, qu’en dépouillant >»<«. méchante, & miséraWc chair, au moiên dequoi S.Pol écriuant aux Thcffaloniciens, Frcres (dit il) noqs