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tombcnt.Mais du petitfenticr, reue) nons au grand chemin. II n’ia donques lieu de se rire, & moquer d’une imperféxiô,8c maladie fi commune, dc laquelle dit le Poëte, Scmcl infaniuimutS omnes.
Et qui peut forcer (s’il êt loifible f»»’" d ainsi parler au Chrétien aueq Sé- ^ néque) non seulement les hommes, shiquetn mais encor les Dieux ‘. car comme geZéZ*’ Properce deuifant dc la puifsâce d’amour dit *. Properce cdtum,0 terros,0 marU alu domat. dH^.aefes Et Ouide encore mieux ouJ AUX A.tff ifff Deos. if itrrs. Cécilius ajoutoit encores plus fortement, que qui ne pense amour être vn Dieu fouucrain, faut qu’il soit vn fol, & vn ignorant. Platon, dit aufsi, qu’Amour êtgrâd enucrs les Dieux, ôc enucrs les hômcs émcracillable.&
