Page:Coras - Altercacion.djvu/300

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AD Kl» ADKU^* j^idtBCc ijiKÎiy* ^v’e s t c e Q.V E C E S A R ? EPICTETE. EPICT. £ E CHEF DE LA LV M I B RE ’ P V B £ I Q.VE. P**blicd lucii ANNOTATION. IL prend ici C éfar, pour l’Empe-fZuU”* rcur. bien que félon la propriété des Latins, Auguste, ou Empereur, soit ^ proprcmét celui, qui régit, & amini-rw. r* ; céfar cil, qui êt désigné fuccef UluZi Rfi des R.0- feur, â l’Empereur viuant tel qu’êt ’Z/dTco^ en ce tems à l’Empire, lcRoides Ro diAnU ie». • 1—» /“ • f rte, SpAfttÂt% DAxfhpt mains.& en France, monlcigneur le e„Uyie de tH f, Atue. £)auphin. O r dit Epidéte, que Céfar (c’êt à dire l’Empereur) êt la lumière du peuple . car comme disoit Cyrus, ce grâd Roi des Pcrfcs, (qui r fut tant cclébré : non seulement de iuftice, mais de tontes autres vcrtus roi-