Page:Coras - Altercacion.djvu/317

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Et par expérience, nous ne voions amis, que là où fortune rit, ou noz comodité s’engreffcnt. car fi la for^ tune se rcuoltcjou le profit s’ébranle, ’ les amis défaillent aufsi. Sc côme dit plaute, I ^ Vt qtéoique hoi res parafa est, firmi amicl fûnt, rUum tu si labant res lajja, ttidem amici coUabafcunt Et ailleurs, de plusieurs dit il, qui se font amis, il cn i a bien peu, qui foiéc pUulin entiers, & afleurés ‘.L’autre raison se pfeudoio prend, de Diogénés. qui affermoit, ’ les gens de bien, être le fimulachrc } des Dieux, partant, que le naturel, & t propre des Dieux, qui font trêbons, * yie de Dh- jg fjjrc bico à tous, &c ne nuire à personne*. jtDKl’ UDKIMR. Slu’td tfl dmiau ? Q.V’e S T C E Q.vV N A M si kxy. EP JCTBTE. EPJCT. SEMBLABLE AT CITRON.’ PAR DE# STfP pmtlk - - - - ‘