Page:Coras - Altercacion.djvu/52

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dant en richesses, hcroiqucment vertueux, ou autrement bien fortuné, est Uu»r«r ^ "‘’dle cnuics. voire les Repu-Uri mhes. bliqucs méfmcs, dit Ciccron, qu’on effime heurcufcs, & opulentes, en or, ou argent, font communément enuices des voisins. qui à cette occalipp, * font harcelés, & incités fouuétcfois, leur faire la guerre.& machiner se- crctcmcnt, & ouucrtcmcr, beaucoup ’ . de choses à leur ruine, le tout pour c*^ fperance qu’ils ont, du butin, &dc s’enrichir. i Dequoi toutefois les enuieux endurent la plus grand peine, w Oceron au car l’enuic, qui n’êt autre chose qu’u- j ne douleur procédant, des biés, & de tenu, t. la félicité, de son prochain ; amégrit ^ le corps, ronge & tormentc l’esprit, comme la souilleure, mange, &con- ««i, .*, fume le fer. 4 Dont les poëtcs ont é- h’nZZû crit. que l’enuic, fait fa demeure aux