Page:Coras - Altercacion.djvu/63

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ofFencer, la charité que nous deuons l’un à l’autre.mais pour retirer feulemét la foliciteufe curiosité, de ceux, qui volontairement, & témérairement se plongent, aux négoces d’autrui . Et moins, sçaurois ic aprouuer la réponce, de Prodicus Gorgias, Telluris inutile pondus. (Yie plusieurs ont pensé, auoir vécu deux cents, & quatre ans. lequel interrogé comment étoit il paruenu, à fi extreme vicillcfse. répondit en Epicurien, pourautâr, qu’il ne s’écoit iamais voulu empêcher, dcs affaires d’autrui. ADK.f. ADl{JAK. Siudrdûo, - • niftetno PAR Q.VEt MOIEN> L HOMMB NE IdfjM non JE LASSE ÏAMAlsf f* ? £P/rr. . £P/cT£rE. tucrumU, * ‘ .y’ mtndo, f