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me dirait que corsairien n’est pas français, je lui répondrais qu’il ne sait ce qu’il dit, et que je veux qu’il soit français, moi.
— Comme tu voudras ; l’observation que je fais là ne doit pas te fâcher, et si j’avais pu penser…
— Je ne me fâche pas non plus, tonnerre de Dieu ; mais quand un mot est bon, il est toujours français, et je me moque de ton Dictionnaire comme de la perruque à Jacquot. Au surplus je conviens qu’en mettant aux Corsairiens sur notre enseigne, il pourrait bien arriver que tous ces museaux fins d’officiers et de capitaines de prise de St-Malo, croiraient parce qu’ils sont corsairiens, que c’est pour