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Jacques se réveillaient avec le jour, je lui demandais, avec toute la naïveté de mon âge :
« Dis-moi donc, petit Jacques, pourquoi je ne t’ai pas vu sur le pont quand nous avons abordé le trois-mâts ?
— Ah ! C’est que le capitaine d’armes m’avait placé à la soute aux poudres.
— Tu avais donc peur ?
— Je n’étais pas trop rassuré. »
Mon intention étant d’engager, avec petit Jacques, une conversation dans laquelle l’emploi de quelques mots familiers aux femmes pût trahir un déguisement que je soupçonnais, je continuai ainsi :