Page:Corneille, Pierre - Œuvres, Marty-Laveaux, 1862, tome 10.djvu/49

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Dedans tes deux maris je plains ton mauvais sort,
Puisque la mort de l’un est cause de ta fuite,
Et la fuite de l’autre est cause de ta mort.

Autrement.

Quel malheur en maris, pauvre Didon, te suit !
Tu t’enfuis quand l’un meurt, tu meurs quand l’autre fuit.