Page:Corneille, Pierre - Œuvres, Marty-Laveaux, 1862, tome 2.djvu/139

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

qu’aucun n’a pas un vers plus que l’autre : c’est une affectation qui ne fait aucune beauté. Il faut, à la vérité, les rendre les plus égaux qu’il se peut ; mais il n’est pas besoin de cette exactitude ; il suffit qu’il n’y ait point d’inégalité notable qui fatigue l’attention de l’auditeur en quelques-uns, et ne la remplisse pas dans les autres.