Page:Corneille, Pierre - Œuvres, Marty-Laveaux, 1862, tome 2.djvu/157

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Et que me peut servir un ridicule feu,
Où jamais de son cœur sa bouche n’a l’aveu ?
Je m’en veux mal en vain ; l’amour a tant de force
Qu’il attache mes sens à cette fausse amorce,
Et fera son possible à toujours conserver
Ce doux extérieur dont on me veut priver.


Fin du premier acte.