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Que je m’éclaircirai de ses intentions.
Scène VIII.
PHYLIS, LYSIS.
PHYLIS.
Quoi ! Lysis, ta retraite est de peu de durée !
LYSIS.
L’heure de mon congé n’est qu’à peine expirée ;
Mais vous voyant ici sans frère et sans amant…
PHYLIS.
N’en présume pas mieux pour ton contentement.
LYSIS.
Et d’où vient à Phylis une humeur si nouvelle ?
PHYLIS.
Vois-tu, je ne sais quoi me brouille la cervelle.
Va, ne me conte rien de ton affection :
Elle en auroit fort peu de satisfaction.
LYSIS.
[1] ?
Cependant sans parler il faut que je soupirePHYLIS.
Réserve pour le bal ce que tu me veux dire.
LYSIS.
Le bal, où le tient-on ?
PHYLIS.
LYSIS.
De votre bon avis je ferai mon profit.
FIN DU TROISIÈME ACTE.
- ↑ Var. Puisque vous le voulez, adieu, je me retire. (1637-57)