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DORANTE.
Un effet de l’amour dont mon âme est atteinte ?
CLITON.
Bon : en voici déjà de deux en même jour,
Par devoir d’honnête homme, et par effet d’amour.
Avec un peu de temps nous en verrons bien d’autres ;
Chacun a ses talents, et ce sont là les vôtres.
DORANTE.
Tais-toi, tu m’étourdis de tes sottes raisons[1].
Allons prendre un peu l’air dans la cour des prisons.
FIN DU SECOND ACTE.
- ↑ Var. Tais-toi, tu m’étourdis avecque tes raisons. (1645-56)