Page:Corneille, Pierre - Œuvres, Marty-Laveaux, 1862, tome 4.djvu/424

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« Rodogune un rôle tendre, Monsieur ? Une Parthe, une furie qui demande à ses amants la tête de leur mère et de leur reine, un rôle tendre ? Voilà certes un beau jugement !… » Effrayée moi-même de ma démarche, les larmes me gagnèrent, et je m’enfuis au milieu des applaudissements. »

Il est inutile de dire que dans les Mémoires pour Marie-Françoise Dumesnil en réponse aux Mémoires d’Hippolyte Clairon[1], cette dernière est entièrement sacrifiée à Mlle Gaussin.


  1. Pages 323 et suivantes.