Page:Corneille, Pierre - Œuvres, Marty-Laveaux, 1862, tome 8.djvu/728

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Chapitre VIII, Qu’il faut éviter la trop grande familiaritë. 61

— IX. De l’obéissance et de la subjétion 64

— X. Qu’il faut se garder de la superfluité des paroles 67

— XI. Qu’il faut tâcher d’acquérir la paix intérieure et de profiter en la vie spirituelle 70

— XII. Des utilités de l’adversité 75

— XIII. De la résistance aux tentations 78

— XIV. Qu’il faut éviter le jugement téméraire 87

— XV. Des œuvres faites par la charité 90

— XVI, Comme il faut supporter d’autrui 94

— XVII. De la vie monastique 98

— XVIII. Des exemples des saints Pères 100

— XIX. Des exercices du bon religieux 107

— XX. De l’amour de la solitude et du silence 114

— XXI. De la componction du cœur 123

— XXII. Des considérations de la misère humaine. 130

— XXIII. De la méditation de la mort 140

— XXIV. Du jugement, et des peines du péché 153

— XXV. Du fervent amendement de toute la vie 163


LIVRE SECOND.

Chapitre I. De la conversation intérieure 176

— II. De l’humble soumission 188

— III. De l’homme pacifique 191

— IV. De la pureté du cœur et de la simplicité de l’intention 195

— V. De la considération de soi-même 198

— VI. Des joies de la bonne conscience 202

— VII. De l’amour de Jésus-Christ par-dessus toutes choses 209

— VIII. De l’amitié familière de Jésus-Christ 2i3

— IX. Du manquement de toute sorte de consolations 220

— X. De la reconnoissance pour les grâces de Dieu. 230