Page:Corneille - Horace, 1641.djvu/51

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CURIACE.

Quel adieu vous dirai-je ? Et par quels compliments…

Le vieil HORACE.

Ah ! N’attendrissez point ici mes sentiments ;
Pour vous encourager ma voix manque de termes ;
Mon cœur ne forme point de pensers assez fermes ;
Moi-même en cet adieu j’ai les larmes aux yeux.
Faites votre devoir, et laissez faire aux dieux.