„ ſeulement entourée de femmes :
mais je ſens que je ne puis me
paſſer des jouiſſances, auxquelles
m’a accoutumée ma chere Dorothée,
que je regrette et regretterai
toute ma vie. Je ſuis venue à Paris
pour tâcher d’y trouver une femme
qui me plaiſe et qui puiſſe la remplacer.
Je partagerai ma fortune
avec elle, et lui aſſurerai un ſort
après moi. Je ſuis fâchée, ma chere
Victorine, que vous ne puiſſiez me
convenir. Votre figure me plaît ;
mais j’ai bien vu que vous n’étiez
pas mon fait, et ne vous prêtiez
à mon goût que par complaiſance.
J’eſpere maintenant que vous n’êtes
plus ſurpriſe. ” Je lui dis que non,
je voulus tâcher de la faire revenir
de ſon antipathie pour les hommes ;
„ Non, me dit-elle, jamais ils ne
me tromperont une ſeconde fois
enſuite elle me pria de lui accorder
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