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d’être, Milord, votre très-humble et très-obéiſſante ſervante.

Un de mes chevaux s’étant déferé aux Champ Elyſées, je n’arrivai que très-tard à Long-Champs. Je n’y apperçus pas Milord, quoique ſurement il y aura été ; mais, ne m’y voyant pas, peut-être ſe ſera-t-il en allé. J’attends avec impatience l’entrevue de cette après-dîner. Demain, ou Lundi au plus tard, je t’en donnerai des nouvelles. Adieu, ma chere amie.

Lettre de Mademoiſelle Julie.
Ce Samedi 13 Avril 1783.


Tout va le mieux du monde, chere amie, l’Anglois eſt venu me voir ; il m’a fait les complimens les plus honnêtes et les plus belles propoſitions, je n’ai rien accepté ;

  Tome II.
I