Aller au contenu

Page:Correspondance d’Eulalie, 1785.djvu/365

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 145 )

Lettre de Mademoiſelle Victorine.
Paris, ce 25 Octobre 1783.


La demoiſelle de Bordeaux, ma bonne amie, que tu m’as adreſſée a un petit minois de fantaiſie fait pour plaire. Je lui ai donné à dîner hier, je dois demain la mener chez la Briſſeau ; la Comteſſe étant à toute extrémité.

Lettre de Mademoiſelle Florival.
Paris, ce 31 Octobre 1783.


Mademoiselle Victorine, ma chere Minette, m’a reçue au mieux ; elle m’a préſentée à la préſidente, qui hier m’a fait faire un ſouper avec deux italiens. Leurs paſſions quoiqu’extraordinaires n’a cependant rien qui ſoit contre nature. Il faut ſeulement qu’un des deux ſe mette à quatre pattes et

  Tome II.
N