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qu’elle eſt entourée de diamants. Ah, qu’il ſait bien ſe conduire avec une femme ! Heureuſe celle qui l’aura quand il pourra diſpoſer de ſa fortune ! Adieu.

Lettre de l’Abbé Chatar.
Ce 19 Juillet 1782.


Je vous prie, ma chere Eulalie, de me mander ſi Roſe, qui eſt partie de Paris, eſt à Bordeaux. Il y a un Ruſſe qui m’a écrit pour la lui envoyer, ſi vous découvrez où elle eſt. Donnez m’en avis il y aura vingt-cinq louis pour vos peines. Je finis, ma chere Eulalie, en vous aſſurant que je vous ſuis toujours attaché et très-fâché que vous ne puiſſiez plus faire de partie chez moi. Tâchez, je vous ſupplie, de me donner des nouvelles de Roſe, Votre ami.