Page:Correspondance de Nicolas Poussin (Jouanny, 1911).djvu/556

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de la Torta, Apollon dit au critique de Guarini, car il n’y en a qu’un : Che egli si fa conoscere per uno di quegli acerbi detrattori, che accecati dall’ invidia, biasimavano le cose inimitabili degli ingegni straordinariamente fecondi. Centuria la, Ragguaglio di Parnaso XXXI. » (Note de Quatremère de Quincy, éd. de 1824, p. 378.)

Page 152, note 2 (François Bonnemés). — On voudra bien nous permettre de réserver les renseignements, assez étendus, mais très contradictoires, que nous avons déjà recueillis sur la question. Quand elle sera pleinement élucidée, elle méritera un article spécial.

Page 183, note 1. — Dans un article de la Revue d’Histoire de Lyon, fasc. III, 1912, intitulé : Lyon dans la correspondance de Poussin, nous proposons l’hypothèse suivante : la date de ce brouillon de lettre serait exacte, mais l’écriture, — qui n’est pas celle du ms. 12347, — serait, non de Poussin, mais de son neveu et secrétaire Jean Dughet. Félibien nous apprend que Poussin, accompagné de Le Brun, atteignit Rome le 5 novembre 1642. Le Brun se serait empressé d’écrire le jour même à Jean Dughet, resté à Lyon, et chargé vraisemblablement de tenir M. de Chantelou au courant du voyage de son illustre protégé.

Page 267, note 2. — Quel est ce « M. de Cotances » (selon Chantelou, p. 267), ce « Mr. l’Euesque de Constanse » [ou « Coustanse », car ce mot du ms. 12347 est douteux] (selon Poussin, p. 268) ? M. Maurice Tourneux, dont nous nous sommes permis de consulter la science si obligeante, estime que l’hypothèse la plus probable est celle relative à Léonor 1er Goyon de Matignon, évêque de Coutances, de juillet 1625 à août 1646.

Page 332, note 2. — Ce post-scriptum a cependant été écrit le 11 février 1646 (voir la 6e ligne), alors que la lettre proprement dite est datée du 4.

Page 357. — L’Hercule Farnèse ne mesure pas moins de 2{{e|m} 99 de hauteur.

Page 373, Traité des modes. — On lira dans Gevaert,