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Page:Correspondance littéraire, philosophique et critique, éd. Garnier, tome 9.djvu/530

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aux comédiens français et au parterre. — Ma philosophie, par Dorat. 
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Mai. — L’Amoureux de quinze ans, ou la Double fête, comédie mêlée d’ariettes, paroles de Laujon, musique de Martini. — Gaston et Bayard, tragédie par de Belloy. — Les Bêtes mieux connues, par l’abbé Joannet. — Élections à l’Académie française de Roquelaure, évêque de Senlis, du prince de Beauvau, de Gaillard et de l’abbé Arnaud ; divisions entre les divers académiciens ; épigramme sur le duc de Richelieu ; réception des nouveaux élus, par l’abbé de Voisenon et par Châteaubrun ; lectures diverses par Saurin et Thomas. — Mort de Bachaumont ; son portrait. — Première introduction à la philosophie économique, par l’abbé Baudeau. — Distique de l’abbé Le Monnier pour le portrait de Diderot, par Garand. — Épigrammes sur le Parlement ; répartie de l’abbé de Voisenon au duc de Fronsac. — Mes Réveries, attribuées à Dorat. — Opuscules poétiques et philosophiques de Feutry. — Clarisse, drame, par J.-A. P. — Les Grâces et Endymion, conte comique, imité de l’allemand de Wieland, par d’Ussieux. — Début poétique, par Gilbert. — Toilette de Flore, ou Essai sur les plantes et les fleurs qui peuvent servir d’ornement aux dames. — L’Homme tel qu’il est, traduit de l’allemand de Pfeil par Mlle de Morville. — Lettres athéniennes, par Crébillon fils 
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Juin. — Histoire d’une aventurière connue sous le nom de Mme d’Auban, roman débité sur son compte. — Observations de Diderot sur le discours de l’abbé Arnaud. — Description du Colisée ouvert aux Champs-Élysées

par Torré. — Fêtes pour le mariage du comte de Provence. — Tableau philosophique de l’esprit de M. de Voltaire par l’abbé Sabatier de Castres. — Publication à Genève de l’Homme dangereux de Palissot ; nouvelle édition de la Dunciade. — Histoire de la rivalité de la France et de

l’Angleterre, par Gaillard. 
 324
Juillet. — Confidences philosophiques, par Vernes et Claparède. — Mort du comte de Clermont, prince du sang. — La Buona figliola, opéra-comique, paroles de Goldoni, musique de Piccini. — Observations sur la statue de Marc-Aurèle et sur d’autres objets relatifs aux beaux-arts, par Falconet ; remarques de Diderot sur cette brochure. — Extrait du droit public de la France, par Lauraguais. — La Fête de Flore, pastorale, paroles de Saint-Marc, musique de Trial ; mort subite de ce dernier. — L’Art de former les jardins modernes, ou l’Art des jardins anglais, traduit par Latapie. — Recherches sur le style, par Beccaria. — Les Soliloques, de Shaftesbury, traduits par Sinson. — Le Tableau de la volupté, ou les Quatre parties du jour, par Du Buisson. — Le Code des amants, poëme héroïque. 
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Septembre. — Dialogue copié d’après nature, ou de l’Amitié de deux jolies femmes, par Mme d’Épinay. — Anecdote plaisante. — Les Amants sans le savoir, comédie attribuée à Mme de Saint-Chamond ; article (inédit) de Diderot. 
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Octobre. — Suite du Dialogue de Mme d’Épinay. — Le Domino, farce italienne ; les Deux miliciens, ou l’Orpheline villageoise, comédie mêlée d’ariettes, paroles d’Azémar, musique de Fredzeri, compte rendu par la même. — Fin du Dialogue de Mme d’Épinay. — La Coquette de village, ou le Baiser pris et rendu, paroles d’Anseaume, musique de Saint-Arnaud.