Page:Cottin - Œuvres complètes, Ménard, 1824, tome 5.djvu/285

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de plus dévorant, et je la fuirai pour toujours, n’emportant que l’amitié de celle dont l’amour doit rendre un mortel plus heureux que tous les heureux de la terre et du ciel même. Alors, quoi que vous puissiez dire, Adolphe, j’aurai assez fait pour le devoir.


FIN DU PREMIER VOLUME.