Page:Cottin - Œuvres complètes, Ménard, 1824, tome 7.djvu/264

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l’amour paternel qu’il avait eu pour Amélie, tous les deux ans il allait avec Blanche passer quelques mois en Suisse, et mettait dans les bras de ce vénérable ami d’Amélie l’enfant qu’elle avait laissée, et la seule image qui restât d’elle sur la terre.


FIN DU TROISIÈME ET DERNIER VOLUME.