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Page:Cottin - Claire d Albe (Maradan 1799).pdf/303

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l’on avait posé le cercueil dans la terre, il avait tressailli, et s’était prosterné la face dans la poussière, et qu’aussi-tôt que la fosse avait été comblée, il s’était enfui impétueusement en s’écriant : — À présent je suis libre, tu n’y seras pas long-temps seule.


FIN.