nom de pentathle puisqu’il ne se composait que de quatre épreuves — en gymnastique : la corde lisse en traction de bras, les rétablissements divers à la barre fixe, mouvements aux anneaux, barres parallèles profondes, saut du cheval et travail des poids ; en escrime, le fleuret, le sabre et l’épée pour amateurs et (exceptionnellement à cause de la Suède) pour professeurs ; la boxe anglaise et française, la canne, le bâton, la lutte suisse et romaine ; comme sports nautiques : des courses à la voile en rivière pour yachts au-dessous de cinq tonneaux et en mer pour yachts de vingt tonneaux ; des courses à l’aviron à un, deux, quatre et huit rameurs ; des courses de natation sur 100, 500 et 1.000 mètres
le château de bonnétable (près le mans)
avec concours de plongeon et de sauvetage et water-polo ; — en vélocipédie une course en vitesse de 2.000 mètres sans entraîneurs, une course de fond de 100 kilomètres avec entraîneurs, et une course de tandems de 3.000 mètres sur piste sans entraineurs. Les « évents » vélocipédiques étaient ceux que, sur ma demande, l’Union Vélocipédique de France avait choisis pour Athènes en 1896 ; la partie gymnastique était l’œuvre de M. Strehly.
Comment réaliser ce programme ? Le plan était très simple. Les circonstances nous obligeaient à traiter la deuxième Olympiade tout