Page:Courant - Répertoire historique de l'administration coréenne.djvu/267

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1385

豆錫匠 두석장, Tusŏkchang [Tou syek tjyang], Ouvriers qui travaillent l’étain ;

1386

絲金匠 사금장, Sagŭmjang [Să keum tjyang], Ouvriers fabricants de fil d’or ;

1387

黃丹匠 황단장, Hwangdanjang [Hoang tan tjyang], Ouvriers qui préparent le massicot ;

1388

小爐匠 소로장, Sorojang [Kari tjyang], Ouvriers tourneurs ;

1389

雕刻匠 조각장, Chogakchang [Tyo kak tjyang], peut-être aussi 穿穴匠 천혈장, Ch’ŏnhyŏljang [Tchyen hyel tjyang], Ouvriers graveurs sur bois ;

1390

刻匠 각장, Kakchang [Kak tjyang], Ouvriers graveurs sur corne ;

1391

竹匠 죽장, Chukchang [Tjyouk tjyang], Ouvriers qui travaillent le bambou ;

1392

小木匠 소목장, Somokchang [So mok tjyang], Ouvriers menuisiers ébénistes ;

1393

車匠 차장, Ch’ajang [Tchya tjyang], Ouvriers charrons ;

1394

木手漆匠 목수칠장, Moksuch’iljang [Mok syou tchil tjyang], Ouvriers vernisseurs pour bois ;

1395

漆匠 칠장, Ch’iljang [Tchil tjyang], Ouvriers vernisseurs (pour le vernis laque) ;

1396

假漆匠 가칠장, Kach’iljang [Ka tchil tjyang], Ouvriers fabricants de vernis ordinaire et vernisseurs ;

1397

油漆匠 유칠장, Yuch’iljang [You tchil tjyang], Ouvriers peintres ;

1398

合絲匠 합사장, Hapsajang [Hap să tjyang], Ouvriers cordiers ;

1399

船匠 선장, Sŏnjang [Syen tjyang], Ouvriers constructeurs de bateaux ;

1400

都多益匠 도다익장, Todaikchang [To ta ik tjyang], ?  ;

1401

花兒匠 화아장, Hwaajang [Hoa ătjyang], ?  ;

1402

看多介匠 간다개장, Kandagaejang [Kan ta kăi tjyang], ?  ;

1403

韂匠 첨장, Chŏmjang [Tchyem tjyang], ?  ;

1404

於赤匠 어적장, Ŏjŏkchang [E tjyek tjyang], ?  ;

1405

精匠 정장, Chŏngjang [Tjyeng tjyang], ?  ;

1406

都結兒匠 도결아장, Togyŏrajang [To kyel a tjyang], ?  ;

1407

自擊匠 자격장, Chagyŏkchang [Tjă kyek tjyang], ?  ;

1408

Malgré le nombre des métiers l’industrie n’est rien moins que florissante : les ouvriers, méprisés par toutes les classes qui sont au-dessus d’eux, n’ont contre les pillages des valets des yamens d’autre protection que celle des colporteurs (n° 1231) ; parfois ils forment des Associations, Kye [Kyei], 契 계, souvent ils restent isolés. En province, ils peuvent vendre eux-mêmes au consommateur les produits de leur industrie ; à Seoul, ils ne pourraient le faire qu’en s’exposant aux poursuites des Colporations de marchands (n° 1154).