μ. συνέπ. Comme dans le quatrième livre, Λάμπις τις ἦν βουκόλος· οὗτος ἐμνᾶτο….
P. 14, l. 11. « Sa houlette. »
Le mot ξύλον est une glose dans le texte, comme dans Hesychius, καλαύροπα, ξύλον. Et de même p. 90 du texte de Rome, αὕτη ἡ σύριγξ, τὸ ὄργανον. Effacez τὸ ὄργανον, glose marginale.
P. 15, l. 10 « Ils le mirent hors du piège. »
À partir d’ici, tout ce qui suit, jusqu’aux mots, p. 25, « Dea, que me fait donc le baiser de Chloé ? » manque dans la version d’Amyot, qui avertit par une note « qu’en cet endroit il y a une grande obmission dans l’original. » On a rempli cette lacune à l’aide du manuscrit de l’abbaye de Florence, où le texte s’est trouvé complet. (Voyez à la fin de ce volume : Lettre à M. Renouard, libraire.)
P. 15, l. 17. « Si on le demandoit, que le loup l’avoit emporté. »
Lucien, ou plutôt Lucius de Patras, dans l’Ane : καὶ ἤν τις ἔρηται, πῶς οὖν ἀπέθανεν ὁ ὄνος, λύκου τοῦτο καταψεύσασθε.
P. 16, l. 1. « Trace de sang ni mal quelconque. »
Il faut lire dans le grec : τέτρωτο μὲν οὖν οὐδὲν,