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LES CADETS DU BRABANT

Il arrive ainsi jusqu’à un carré où il y a trois portes. Il se précipite sur l’une d’elles sans savoir et disparait. Bientôt, il revient pour se lancer pâle et vertigineux dans une autre porte. Encore une fois, il réparait échevelé, ruisselant, le pourpoint en lambeaux et bien plus crevé qu’il n’est besoin pour le pittoresque.

Sacrebleu, quel est donc le chemin ! Il ne trouve pas. Il n’a plus la moindre notion ni du temps ni des lieux. Il est dans un labyrinthe. Et il reste là, abruti, hagard, quand une nouvelle sonnerie le cingle comme d’un coup de fouet !

Cette fois, abandonnant le palier, il rebondit sur l’escalier qu’il monte d’abord mais qu’il redescend au bout de quelques marches pour se jeter sur la troisième porte.

Maintenant, à tâtons, il se dirige dans