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LES CADETS DU BRABANT

par M.  le Curé, accompagneraient le dais de gala en exécutant leurs hymnes les plus sacrées.

Alors, la Cécilienne n’avait plus hésité ; l’occasion était trop belle de se mesurer avec ses rivaux dans une sorte de tournoi pacifique qui allait peut-être démontrer au « bas de la ville » la sévérité excessive, sinon l’injustice du jury de Mons, et apaiserait en tous cas les esprits surexcités, en faisant luire aux yeux de tous l’aube consolante de la revanche.