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V


Bien que la procession ne fut annoncée que pour midi moins le quart, tout le monde se trouvait déjà réuni dès onze heures chez M.  et Mme François Cappellemans qui recevaient leurs invités dans les appartements du premier étage.

Aux trois fenêtres du salon, une douzaine d’enfants se pressaient et se bousculaient en poussant de grands cris d’allégresse à la vue des guirlandes de feuillage et des bannières qui pavoisaient la rue Ste-Catherine.