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Page:Courouble - Les Deux Croisières, 1928.djvu/135

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LA LIGNE DES HESPÉRIDES

que sourdait dans ma poitrine une des plus terribles séditions stomacales que j’aie eu à réprimer de ma vie. Par bonheur, je me souvins du remède de Mr James : j’avalai précipitamment une dizaine de ses comprimés et m’étendis sans autre précaution sur les coussins d’une banquette. Aussitôt, mes idées se brouillèrent, tournoyèrent dans ma cervelle et je tombai dans un sommeil bourrelé de rêves et de cauchemars effarants !