Page:Cousin d’Avallon - Diderotiana.djvu/30

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ques productions qui semblaient ne pouvoir guère sortir d’une tête encyclopédique ; ses Bijoux Indiscrets, 2 vol. in 12, sont de ce nombre ; l’idée en est indécente, et les détails obscènes sans être piquans, même pour les jeunes gens malheureusement avides de romans licencieux ; il a rarement tiré un parti avantageux des scènes qu’il imagine ; il n’y a pas assez de chaleur dans l’exécution, de fines plaisanteries, de ces naïvetés heureuses qui sont l’âme d’un bon conte ; une pédanterie philosophique se fait sentir, même dans les endroits