Page:Cousin d’Avallon - Diderotiana.djvu/36

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parlent, 1751, 2 vol. L’auteur donna sous ce titre des réflexions sur la métaphysique, sur la poésie, sur l’éloquence, sur la musique, etc., etc. Il y a des choses bien vues dans cet essai, et d’autres qu’il ne montre qu’imparfaitement ; quoiqu’il tâche d’être clair, on ne l’entend pas toujours, et c’est plus sa faute que celle de ses lecteurs. On a dit de tout ce qu’il a écrit sur des matières abstraites, que c’était un chaos où la lumière ne brillait que par intervalles. Les autres productions de Diderot se ressentent de ce défaut de clarté