Page:Cousin d’Avallon - Diderotiana.djvu/35

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une tête très-exaltée, se voyant tout à coup privé de sa liberté et de toute relation avec les humains, il faillit devenir fou ; le danger était grand : pour le détourner on fut obligé de le laisser sortir de sa chambre et de lui permettre de fréquentes promenades et la visite de quelques gens de lettres. J.-J. Rousseau, alors son ami, alla lui donner des consolations qu’il n’aurait pas dû oublier.

La Lettre sur les Aveugles fut suivie d’une autre sur les Sourds et Muets, à l’usage de ceux qui entendent et qui