Page:Cousin d’Avallon - Diderotiana.djvu/43

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sions de J. J. Rousseau, son ancien ami : il est malheureux qu’en gravant cet opprobre sur le tombeau du philosophe génevois il ait laissé des impressions fâcheuses de son propre cœur, ou du moins de son esprit. Ce Rousseau, qu’il décrie tant, l’a loué plus d’une fois avec enthousiasme ; mais il dit dans une de ses lettres que, quoique né bon et avec une âme franche, Diderot avait un malheureux penchant à mésinterpréter les discours et les actions de ses amis, et que les plus ingénues explications ne faisaient que